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répit sur un tapis de maux devenus mots… accueil a propos d'errances errances : chants d'un coeur en dépendance mes amours, mes emmerdes a propos d’errances catégories adieu beau vent qui passe ancolire…pour anne au soleil de toi petite femme avant-propos : au commencement etait le verbe chapitre 1 : je marche cette nuit encore chapitre 10 : petite musique de nuit chapitre 11 : c'est comme ca que je t'aime chapitre 12 : audrey chapitre 13 : aimer… chapitre 14 : errances chapitre 15 : le paris de l'amour ? chapitre 16 : comment te dire ! chapitre 17 : il est venu le temps d'aimer chapitre 18 : ma vie chapitre 19 : les demons suivi de je veux etre libre ! chapitre 2 : ô supreme douleur ! chapitre 20 : cette annee la chapitre 3 : illusion du temps qui passe et lasse chapitre 4 : urgence d'ecriture chapitre 5 : peine laden ! chapitre 6 : douce france chapitre 7 : anna petite fleur chapitre 8 : je te cherche chapitre 9 : je reprends la meme hantise charly cogito comme une vague correspondances : morceaux choisis coupable en l'eglise saint-nicolas des champs epilogue : oui je suis comme ca helene je m'en irai je t'aime lettre a b…: je ne m'etais pas menti lettre a b…: ma b…attitude lettre a b…:b…mon ultime lettre a b…je dis oui ! lettre ã c…quoi qu'il advienne ! lettres ã c…: l'inconnu mere : le monde meilleur mon tendre amour …des autres musique : il etait une fois…anna musiques de mon coeur paroles pour quizas quizas quizas pour une saint-valntin prologue : comme une vague… prologue : je m'appelle caãn rhapsodie en bleu smokey robinson toute la musique j'aime une nuit sans toi recherchez aussi : - issopha nsangou - issopha blog - chant spirituel youtube - paroles chansons tablatures quizas - texte amour dependance skyblog visiteurs il y a 1 visiteur en ligne articles récents en l’eglise saint-nicolas des champs lettres à femme : l’inconnu lettres à femme : comme une chanson a katie… a femme au soleil de toi petite femme paroles pour quizas quizas quizas je t’aime adieu beau vent qui passe helene mon tendre amour …des autres commentaires récents emma dans en l’eglise saint-nicolas des champs michelrecancourt dans a propos d’errances michel alina dans a propos d’errances nostalgikombre dans adieu beau vent qui passe florian lavoux dans chapitre 10 : petite musique de nuit avant-propos actuliens psynternaute fun koreus liens vers sites a consulter créer un blog plaidoyer pour l’homme nouveau site biblio fnac unblog.fr musique jazz mag mondomix soul men soulbag psy et pratique actuliens doctissimo dossier familial langage du corps psychologies.com zazieweb sondage désolé il n'y a aucun sondage disponible actuellement. juillet 2019 l ma me j v s d « mar 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 archives mars 2009 septembre 2007 août 2007 accueil > a propos d’errances a propos d’errances bonjour lecteur de passage , bonjour lectrice , sois remercié(e) avant toute chose pour l’intérêt , aussi infinitésimal soit-il , que tu accordes à ces lignes , et probablement au sujet qu’elles portent et découvrent. mais rien de nouveau sous le soleil, sois de suite rassuré(e). trentenaire. francilien dans l’âme. amoureux des grands espaces , du large , du vent d’amour qui souffle et des éthers de la pensée. je ne suis pas poète, ni métaphysicien , encore moins psychanalyste , je me veux être simplement un quêteur de sens , un porteur de mots , un diseur de maux , humaniste à mon cœur consentant , malmené émotionnellement parce que j’ai mal à ce monde technologique déshumanisé et pourri de valeurs superficielles. poser un œil original ou différent sur une question sensible qui interpelle quantité de gentes gens, victimes ou thérapeutes, curieux ou détracteurs. cela se peut faire aussi par le biais de textes de poésie, de proses, de correspondances, un des outils majeurs ayant servi et nourri ma “démarche intellectuelle” dans l’optique de sentir, d’appréhender et de comprendre ce phénomène que j’appelle ” les démons ” : toujours l’amour. au fil des correspondances entretenues avec des tiers, l’évidence même des errances nées de la recherche permanente d’une satisfaction affective immédiate s’est faite jour peu à peu. je vous livre à travers quelques morceaux choisis , souvent fictifs , souvent inspirés de faits réels , les tribulations d’une âme jeune tellement étrangère à elle-même qu’elle s’est faite de la vie, des amours et présences d’autrui un moyen d’avancer et de vivre et sa vie et la vie. une vie par procuration en somme, une perte de la perspective de soi, un escamotage de la liberté de soi, qui en fait le dégât collatéral majeur que puisse originer la dépendance amoureuse. par cette démarche, j’espère également susciter quelques réflexions, rétractations, indignations , interrogations, tout au moins contribuer à taquiner cette problématique au travers de séquences de choses vues et entendues. aimer à en perdre la raison c’est le cancer du cœur, si peu perméable au questionnement rationnel, tant le sujet touche à un univers qui échappe tout court à la conscience des roméo et juliette qu’arrime si fortement le besoin d’exister par l’impératif de dire …amour. oooooh ! savoir raison retrouver et la savoir garder. c’est un ressenti, et d’appréhender ce vaste et profond sujet commande une approche empathique, en tout cas, exempte de jugements de valeur, privilégiant au contraire des jugements de réalité. plus d’humanité, plus de, disons le mot, altruisme, plus humaine et humaniste qu’autre chose. il s’agit moins de céder à un chantage affectif ou exiger quelque compassion ou complaisance d’aucune sorte. juste exercer ses capacités de compréhension. je vous souhaite par conséquent une bonne visite dans les méandres de cette curieuse chose de l’âme, ce défaut d’amour de soi qui appelle fatalement la dépendance à l’amour d’autrui. au commencement était la peine. errances : chants d’un cœur en dépendance s’est alors voulu un recueil de textes autobiographiques qui ne tendent vers aucun port ultime , puisqu’il constitue le miroir d’une évolution affective , d’une dialectique intérieure, dialogues intérieurs portés au faîte de l’étrange . l’œuvre d’une jeune vie donc. depuis lors, ce web-recueil se veut être une remontée du temps, en poésies , en proses et en chansons. le parcours de moments force d’adolescence, d’adulescence et d’âge adulte marqués de l’empreinte profonde d’une quête perpétuelle de soi. qui suis-je ? ( voir le texte fondateur du receuil : comme une vague ). quête de repères, de marques , de mission, quête de sens de son soi sur terre, de la place de soi dans la vie et dans le monde. a l’aurore de son écriture , ce recueil s’est voulu plus encore un complexe d’interrogations adolescentes sur la condition humaine, et sur les obstacles à la réalisation et à la plénitude de son soi , incarnés dans le regard d’un enfant , d’un adolescent saturé de rêves doux , rêves inaccessibles , rêves souvent conquis aussi. avec en prime un contexte qui en impose. un contexte socioculturel, politique et economique dangereusement anomique et d’émergence d’une humanité plurielle aux contours fuyants. « poésie du divan », telle est la trajectoire littéraire qu’emprunte volontiers cet opuscule inaugural. il plaisait d’offrir à ce tapis de mots une place centrale au cher et doux lyrisme, à l’expression opportunément fidèle, libre et spontanée des ressentis intérieurs; ce choix assumé s’inscrit dans la droite lignée et la revendication de l’héritage splendide des poètes et écrivains romantiques du 19 e siècle européen. hyperbole. mon arme d’émotion massive, grossir, pousser à l’extrême tons , sons , images , tableaux et senteurs. toucher et parler au maximum de cœurs possible, toucher au cœur de ton cœur , toi lecteur qui me lis à cet instant . tel est mon secret espoir. autoanalyse est, à n’en pas douter, le terme qui résume le mieux la logique fondatrice de ce web-recueil, pour l’écriture duquel , moi, un brin introspectif, j’assigne u